. Le cinéaste aurait pu se contenter de mettre en scène leurs revendications et la lutte pour leurs droits mais il va beaucoup plus loin en choisissant délibérément la forme tragique pour l’illustrer. Les enjeux sont posés d’emblée et aucun recul n’est possible. Les personnes deviennent alors des symboles qui jouent leur peau au sens propre et figuré.
les multiples effets du processus apocalyptiques sont partout visibles. Les plus généraux, les plus manifestes sont : la dégradation de l’environnement planétaire et la menace d’autogénocide que font peser sur l’espèce les forces de dominance à l’œuvre
FORMES ET LIEUX ACTUELS DU SPECTACLE VIVANT AUJOURD’HUI, SAMEDI 14 DECEMBRE 19H AUX PIANOS- LA GUILLOTINE, MONTREUIL Lecture et table ronde
Il faut se dépêcher d’aller voir et entendre Un jour on ira à la mer d’Eugène Durif au théâtre des 100 rue de Charenton à Paris avec Jean-Christophe Cornier (musicien)…
