Publié le 3 juin 2008 André Gattolin, Thierry Lefebvre Article extrait du numéro hors série n° 4 de la revue Médiamorphoses, « Les empreintes de Mai 68 », sous la direction d’André Gattolin et…
L’immigrant et la mémoire de la frontière
L’immigration italienne vu par un historien 1er octobre 2010 Philippe Hanus Il n’est guère aisé de faire connaître et reconnaître comme bien commun l’« empreinte visible » de celles et ceux qui,…
Du texte clos à la menace infinie
Compte-rendu publié le 10 août 2011 Kentaro Okuba À l’occasion de la réédition de l’ouvrage dans une nouvelle maquette, au sein de la prestigieuse collection Nera, je renvoie les lecteurs à…
« mon nom est personne »
Le plafond de verre. On désigne habituellement par cette expression la frontière invisible contre laquelle, un jour ou l’autre, se heurtent les jeunes femmes qui souhaitent gravir les échelons de…
Chloé sacrifiée
« Chloé », le film du Canadien Atom Egoyan qui a ouvert la section officielle dela 57e édition du festival de cinéma San Sébastien, déploie un casting d’acteurs de premier plan. Les…
L’amour a-t-il un genre?
The masculine/feminine, knowledge about their biological and social natures, the many ways of thinking and speaking of the one and the other in short, the meaning of the anthropological dimorphism of sexuality – what today is called « Gender » -has become the subject matter of a number literary and cinematic works. The social sciences are not to be left behind when historians, sociologists, anthropologists, ethnologists (etc.) are churning out theories and studies in an attempt to discover new analytical tools to supersede the old ethical and religious precepts that were once the bread and butter of books on good manners.